L’élément le plus intéressant est d’intégrer que le bulbe capillaire (comme la peau) est irrigué par le sang.
Par voie de conséquence, chaque produit posé sur le cuir chevelu, non seulement se répand dans l’organisme, mais va en plus, franchir la membrane cellulaire du bulbe capillaire qui le stockera, de la même manière qu’il mémorise toute la vie cellulaire du corps humain.
Outre les dommages causés au coeur même de l’organisme, à plus ou moins long terme, le bulbe (et de là, le cheveu) est fragilisé.
La prévention est donc notre sauvegarde.
Nous ne sommes pas les premiers à tirer la sonnette d’alarme quant aux dangers des colorations chimiques. Certains professionnels de la santé s’en inquiètent également (voir entre autres, les rapports du GERDA, le Groupement d’Etude et de Recherche en Dermato-Allergologies), ceux-ci voyant arriver dans leurs cabinets des personnes de plus en plus fréquemment touchées par des réactions allergiques plus ou moins importantes (allant de la simple gène respiratoire aux oedèmes de Quincke, en passant par les brûlures graves du cuir chevelu). De nombreuses substances ont déjà été interdites et retirées des compositions mais beaucoup d’autres sont encore utilisées. |
C’est pourquoi Terre de couleur insiste tant sur l’importance du passage à la coloration végétale et sur le rôle clef de ladétoxination.
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